Le journaliste Paolo De Paola, évoquant la récente défaite de l’équipe d’Antonio Conte face à Manchester, a critiqué les critiques excessives à l’égard du Napoli et de ses supporters. Il a souligné la difficulté de juger le football moderne, où les matchs se jouent souvent avec un déséquilibre numérique, et a noté des sensations positives lors des premières minutes du match. De Paola a également mis en avant l’importance du coup de tête de Bieuchema, qui a obligé Donnarumma à une intervention décisive, affirmant que l’analyse technique du match serait erronée et que le reste du déroulement n’avait pas d’importance.

Claudia Rizzo a pris ses fonctions de présidente de la Ternaña, qualifiant cette nomination d’honneur et de grande responsabilité. Lors de sa prise de parole, elle s’est adressée aux différents acteurs du club, notamment les supporters, tout en faisant face aux fréquentes interventions de Massimo Ferrero, ancien président de la Sampdoria. Bien qu’officiellement non intégré à l’organisation, Ferrero est présenté comme jouant un rôle central dans le développement du club. Son comportement a suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, certains s’interrogeant sur les motivations d’un entrepreneur qui, par le passé, a été reconnu pour ses mérites et qui semble maintenant soutenir une figure extérieure à la Ternaña.

Dans une analyse sur sa chaîne YouTube, le journaliste Sandro Sabaatini a examiné la performance de la Juventus, notamment ses récentes victoires et sa défaite en Ligue des Champions contre le Borussia Dortmund. Il a souligné les limites de l’équipe, en particulier en défense, et a mis en avant le potentiel de gardiens comme Di Gregorio et Perin. Sabaatini a également évoqué la stratégie défensive de la Juventus, qu’il interprète comme un manque de confiance, et a noté la dépendance de l’équipe à des joueurs clés comme Vlahovic et Yıldız. En conclusion, il estime que la Juventus a encore un long chemin à parcourir pour atteindre le niveau de l’Inter et du Napoli.